Press

> Vincent Hänni, Service Secret, Tribune de Genève, 2012.

> Une histoire du son, article de David Tuaillon

Livre d’or

« J’ai eu la chance d’écouter votre musique. Elle se situe parfaitement dans le genre de musique que j’aime pour un film. La plupart des pièces évoquent le ressenti intérieur d’une situation. Parfois ce sont des ambiances actives qui offrent à l’esprit le potentiel épique des détails. D’autres encore rendent audible la tension de l’air . C’est toujours difficile de décrire la musique… Merci ! »
Peter Mettler, réalisateur (traduction française)

« La musique rétablit la connexion que le récit très elliptique brise parfois. Une musique fonctionnant comme une voix-off, un niveau de sens lové dans les plis de sa trame, un indice marquant l’inconscient au travail. Une bande sonore comme un travail du « négatif ». La bande originale est une structure autonome, et fait de l’auditeur un « pré-spectateur ». La musique me paraît entretenir des rapports à la fois évidents et mystérieux avec l’essence secrète de ce qui « est ». Elle a justement pour fin de rendre sensible l’indicible. Elle est la figure de l’inexprimable. Et la matière-son en général… »
Siegrid Alnoy, réalisatrice, analyse l’implication de la musique composée pour son film Elle est des Nôtres.

« Merci pour le CD de votre musique pour « Le Crime du XXIème siècle ». Je l’ai beaucoup aimé ! Ce n’est pas seulement une illustration de la pièce, mais surtout votre profonde réflexion et méditation sur celle-ci. J’ai écrit cette pièce – mais votre musique m’a aidé à mieux comprendre ce que j’ai écrit . Voir sa propre imagination transposée aussi profondément dans un autre médium et à travers l’imagination d’un autre est une expérience forte. J’en suis très reconnaissant. La musique reste dans ma tête. (…) »
Edward Bond, écrivain (traduction française)

« En fait, la bande son est l’élément le plus radical du film, passant brusquement du grondement ambiant au silence et inversément – tout ceci en quelques enivrantes secondes. Gabriel Scotti mérite des félicitations pour avoir su créer un paysage sonore unique où la sonorité de l’eau qui coule, le bruissement des arbres et la respiration haletante, sont amplifiés jusqu’au malaise. »
Michael Joshua Rowin, journaliste, extrait d’un article écrit par à propos du film Elle est des nôtres. (traduction française)